French media and government censure proofs of crimes against humanity perpetrated by the french government.There miserable adept to delay the revelation of the truth about their crimes against humanity (a shame for the entire humanity) Theses journalists organize disinformation, brain washing and propaganda.Phone Conversation of Doctor Adam Tarel with the journal Canard Enchainé and le Figaro censuring the truth.
6th of January 2022.

The constant shameful attempts of public officials to censure the universal declaration of my message against their crimes against humanity is a public admission of guilt.

shadowban on twitter

Universal declaration of human rights

Article 19

Everyone has the right to freedom of opinion and expression; this right includes freedom to hold opinions without interference and to seek, receive and impart information and ideas through any media and regardless of frontiers.

Les plaintes portant les numéros parquet suivant comportent notamment de très nombreuses preuves irréfutables que j’ai transmis à la justice :

Numéros parquet 21043000345

Numéros parquet 21043000300

Numéros parquet 21043000291

Numéros parquet 21043000314

Numéros parquet 21035000596

Numéros parquet 21117000568

Numéros parquet 21043000328

Numéros parquet 21123000630

Numéros parquet 21141000261

Numéros parquet 20237000409

Numéros parquet 21145000565

Référence doyen 20/740

 

Les crimes perpétrés à mon encontre sont notamment :

-         Acte de torture en bande organisé

-         Organisation et planification d’acte de tortures en bande organisé en France et à l’étranger (article 222-1 du code de procédure pénale)

-         Organisation, planifications et complicité de tentative de meurtre en bande organisé (article 322-1 du code de procédure pénale)

-         Organisation, planification et complicité de coups et blessures volontaire en bande organisé (article 222-13 du code de procédure pénale)

-         Intrusions illégales dans ma vie personnelle (notamment pour faire obstruction à la manifestation de la vérité, des falsifications et extorsion en violation des article 434-7-2, article 441-1 et article 434-15 du code de procédure pénale comme cité ci-dessous)

-         Organisation, planification et complicité de filatures illégales (notamment pour faire obstruction à la manifestation de la vérité, des falsifications et extorsion en violation des article 434-7-2, article 441-1 et article 434-15 du code de procédure pénale comme cité ci-dessous) Les filatures illégales perpétrés à mon encontre par les partis adverse sont constante et l’implication d’agents corrompue des parties adverses m’expose quotidiennement à :des collision provoqué à bord de véhicule motorisé (notamment immatriculé ER-620-BS département 75 et FH-086-TG dans le département 78) ; des blessure, des insultes, des mise en scène d’accidents (notamment immatriculé ER-620-BS département 75 et FH-086-TG dans le département 78 ; notamment les plaintes numéros 21145000565,21141000261,21035000596)  ;des abus, harcellent et provocations verbale, dissémination de renseignement dans des réseaux de renseignement et policier mafieux, sabotage de mes moyens de communications, de transports et de géolocalisation ;des attaques concomitante par armes à énergie dirigé ;des procédures abusive et abus de pouvoir ; de la fatigue sensorielle intentionnellement perpétré par harcèlement permanent (en concomitance avec les attaques par armes à énergie dirigé)

-         Attaque par armes à Energie dirigé et irradiation intentionnelle (notamment violation de des articles 222-1, article 322-1, article 222-13, article 434-15, article 441-1, article 322-1 du code de procédure pénale)

-         Planification et organisation d’activités criminelle à mon encontre visant directement mon activité professionnelle (patients, locaux, collaborateurs, prothésistes, fournisseurs et matérielle) ainsi que des procédure calomnieuse, falsifié et illégale constituant faux et usage de faux sont des exemples des activités criminelle organisé par l’ordre des chirurgiens-dentistes à mon encontre de 2008 à ce à ce jour (notamment violation des article 434-7-2, article 441-1 et article 434-15 du code de procédure pénale comme cité ci-dessous)

-         Tentative de dissimulation d’actes de tortures notamment perpétrés par des membres du conseil de l’ordre des chirurgiens dentiste, des chirurgiens-dentistes et médecins en collaboration directe avec la direction générale de la sécurité intérieure, la direction générale de la sécurité extérieure, la direction du renseignement de la sécurité et de la défense, la coordination du renseignement et de lutte contre le terrorisme et la direction du renseignement militaire.

-         Organisation et administration d’atteintes à mon honneur et ma réputation : il est très aisé d’établir que les parties adverses voulant cacher les crimes perpétré depuis 25 ans, constituant subordination de témoin, ciblent mes capacité socioéconomique en s’attaquant à mon activité de Docteur en chirurgie dentaire spécialisé en chirurgie, pour laquelle j’ai fait 9 année d’étude, notamment dans le but de porter atteinte à mon honneur, ma réputation, mes capacité socioéconomique et à mes moyens de résister et de me défendre contre leurs activités criminelle (activité honteuse et connu des parties adverses consistant en une élimination physique et socioéconomique pour laquelle les parties adverse pratiquent notamment le détournement de fond publique et le détournement de moyen d’enquête et d’investigations). Cela constitue notamment obstruction à la manifestation de la vérité, des falsifications et extorsion en violation des article 434-7-2, article 441-1 et article 434-15 du code de procédure pénale comme cité ci-dessous.

 

-         Subordination de témoin article 434-15 du code de procédure pénale,

-         Extorsion de fond, d’information et tentative d’extorsion de renonciation à la saisie des juridictions compétant nationale et surtout internationale pour les crimes perpétré (article 312-1 du code de procédure pénale)

-         Faux et usage de faux : article 441-1 du code de procédure pénale

-         Destruction de preuve et interférence avec les enquêtes de justice (notamment pour faire obstruction à la manifestation de la vérité, des falsifications et extorsion en violation des article 434-7-2, article 441-1 et article 434-15 du code de procédure pénale comme cité ci-dessous)

-         Violation de l’article 34 de la cour européenne des droits de l’homme :

Article 34 de la convention européenne des droits de l’homme : Requêtes individuelles

La Cour peut être saisie d’une requête par toute personne physique, toute organisation non gouvernementale ou tout groupe de particuliers qui se prétend victime d’une violation par l’une des Hautes Parties contractantes des droits reconnus dans la Convention ou ses protocoles. Les Hautes Parties contractantes s’engagent à n’entraver par aucune mesure l’exercice efficace de ce droit (les parties adverses ont empêché la rédaction des écritures de saisie de la cour européenne des droits de l’homme, le remplissage du formulaire et ont détruit les ordinateurs sur lesquelles je rédigeais le texte de saisie de la cour européenne des droits de l’homme en l’application de l’article 34 de la convention européenne des droits de l’homme).

-         Escroqueries en bande organisée (article 313-1 et article 313-2 du code de procédure pénale)

-         Intrusion illegal dans mes logicielles informatiques , matérielle informatique et de mes moyens de télécommunications (notamment pour faire obstruction à la manifestation de la vérité, des falsifications et extorsion en violation des article 434-7-2, article 441-1, article 434-15, article 313-1 et article 313-2 du code de procédure pénale comme cité ci-dessous)

-         Campagne de désinformation et diffamation au sein des relations universitaire et confraternelle de 1999 à ce jour. Les activité criminelle (notamment les filatures illégales et les intrusions illégales dans ma vie personnelle avec des conséquences évidemment extrêmement diffamatoire de 1999 à ce jour et visant mon honneur et ma réputation) des parties adverse, chirurgien dentistes et membres ordinale travaillant pour la partie adverse est en totale contradiction avec l’éthique professionnel et les exigences des relations confraternelles.

-         Destruction de bien (article 322-1 du code de procédure pénale) notamment mon matérielle professionnelle, mes ordinateurs et moyens de télécommunications et mes véhicules

-         Obstructions administratif, chantage administratif, et montage administratif illégaux, détournement de moyen d’enquête et d’investigation, détournement de fond publique et manœuvres frauduleuse visant mon activité professionnelle perpétré notamment par les membres du conseil l’ordre des chirurgiens dentiste

-         Collaboration avec l’Iran (armé, police, diplomatique et politique) notoirement opposé au respect des droits de l'homme dans sa législation et sa pratique, pour les activité criminelle cité à mon encontre (notamment organisé administré et planifié par la direction générale de la sécurité extérieur pour perpétrer les crimes abjects de cette liste à mon encontre en France et à l’étranger)

-         Planification, organisation et administration de la tortures et des crimes cités dans cette liste en France et à l’étranger (notamment en Angleterre, Suède et Grèce : des crimes commis notamment par les agents de la fonction publique de la direction générale de la sécurité extérieur tentant d’organiser l’impunité des criminelle et de dissimuler leurs activité criminelle en prétextant le secret défense)

-         Menaces et tentative d’intimidation directement perpétré par les membres du conseil de l’ordre des chirurgiens dentiste participant directement aux activités criminelles contre ma personne

-         Diffamation (notamment dans mon activité de chirurgiens dentiste) et isolation par filature constante de 1996 à ce jour

-         Escroquerie en bande organisé (article 313-1 et 313-2 du code de procédure pénale) souvent basé entre autres sur les collecte, enregistrement et traitement des données recueillie par intrusions illégale et leurs diffusion (organisé et préparé par la hiérarchie administrative des parties adverse) dans les réseaux de policier mafieux et autre agents de la fonction publique des parties adverse se présentant comme patient dans le but de perpétrer tous les crimes mentionné et toutes sorte d’abus, d’exaction, de menace, de pression, d’abus de pouvoir, d’insulte, diffamation de manière coordonné par les parties adverse pour perpétrer les crimes cité dont acte de torture en bande organisé. Comme déjà mentionné l’activité de chirurgie dentaire ne peut en aucun cas et sous aucun prétexte être la cible d’activité criminelle des parties adverse. Détournement de moyen d’enquête et d’investigation et de détournement de fond publique. Comme vous le savez, mon activité a été la cible constante des agents de la fonction publique des parties adverse dans tous ses (collaborateur, locaux, matérielle, fournisseurs et prothésiste …) aspects de 2008 à ce jours (mais aussi mes études universitaires de 1999 à 2007). Le faux trafique de patient, complice de tous les crimes perpétrés contre ma personne, constitué d’agents de la fonction publique des parties adverse et d’autre personne agissant avec l’autorisation, l’appuis ou l’acquiescement des parties adverse (et donc l’état) constitue une atteinte du plus haut degré de gravité à mon activité professionnelle et donc à mes capacités socioéconomiques : l’état français est ainsi (conséquence notamment des décisions administratif des parties adverse) depuis 2008 en violation de l’article 23 de la délation universelle des droits de l’homme et de l’article 29 de la déclaration universelle des droite l’homme.

-         Utilisation d’agents couvert (se définissant comme des agents de la fonction publique des parties adverse ou toute autre personne agissant avec l’autorisation, l’appui ou l’acquiescement de l’état) et réseaux de policier maffieux en France et à l’étranger notamment pour perpétrer les crimes cités et toutes sortes d’abus de pouvoir, de mise en scène et de représailles d’autant plus grave et abjecte que ma saisie des juridictions compétente au niveau nationale et international et les preuves irréfutables transmis (notamment dans les plaintes portant les numéros de parquets cités ci-dessous) ne laissent pas de place au doute quant à la culpabilité des parties adverses et intentions de porter atteintes par tous les moyens à ma santé et à tous les aspect de ma vie pour organiser l’impunité des criminelles. Vu l’identité des criminelles impliqué et la nature de l’activité des administrations concerné (notamment La direction générale de la sécurité intérieure, La direction générale de la sécurité extérieure, La direction du renseignement de la sécurité et de la défense, La direction du renseignement militaire, La coordination du renseignent et de lutte contre le terrorisme) les criminelles ont tenté et tentent encore de prétexter le secret d’état pour dissimuler leurs crimes.

-         Interférence avec mon domicile, mes correspondances et mes communications (notamment pour faire obstruction à la manifestation de la vérité, des falsifications et extorsion en violation des article 434-7-2, article 441-1 et article 434-15 du code de procédure pénale comme cité ci-dessous)

-         Ciblage de mes moyens de communication (notamment par des algorithmes de ciblage) pour perpétrer de multiples escroqueries en bandes organisées (visant notamment mon activité professionnel), menace, intimidation, campagne de désinformation, harcèlement et tentative d’intimidation (notamment pour faire obstruction à la manifestation de la vérité, des falsifications et extorsion en violation des article 434-7-2, article 441-1 et article 434-15 du code de procédure pénale comme cité ci-dessous).

-          Tentative d’élimination physique et sociale

Criminal sabotage and criminal censorship of my youtube channel: my description of the ignominious criminal activities and the crimes against humanity perpetrated by the french government are miserably censured several times .This is an other public confession of guilt by the french government.
Criminal sabotage (the image is backward) of my YouTube video (Barrie Trower describing spy agencies and states criminal activities against civilians DEW): miserable public confession of guilt by public officials
On the 5th of March 2021 preparing court cases against the criminal activities of the French government. These miserable intrusions perpetrated by the French DGSI (direction général de la securité interieur) secrete police are confessions of guilt. Theses criminal intrusion and destruction of my means of communications are combined with attacks by directed energy weapons: ignominious methods of torture of these miserable French public officials (there crimes are a shame for the entire human race).
Criminal sabotage of Dr Adam Tarel’ computer : miserable crimes perpetrated by the French DGSI

-          Diplôme de docteur en chirurgie dentaire

-          Diplôme universitaire d’implantologie orale et maxillo-facial

-          Plainte auprès du procureur de Paris pour tentative de meurtre avec préméditation, coups et blessure avec préméditation et acte de torture et crime contre l’humanité désignant notamment la participation de la direction générale de la sécurité intérieur et direction générale de la sécurité extérieure a des activité criminelles (Dossier numéro 20 237 000 409)

-          Plainte contre x avec constitution de partie civile tentative de meurtre avec préméditation, coups et blessure avec préméditation et acte de torture et crime contre l’humanité auprès du service général de l’instruction pénale du tribunal de grande instance de Paris

-          Plainte auprès du procureur de Paris pour tentative de meurtre avec préméditation, coups et blessure volontaire avec préméditation et acte de torture et crime contre l’humanité désignant notamment la participation de la direction générale de la sécurité intérieur française et direction générale de la sécurité extérieure française à des activité criminelles (Dossier numéro 20 237 000 409)

-          Plainte au tribunal judicaire de Paris contre la direction générale de la sécurité intérieur Numéros de parquet 21043000345

-          Plainte au tribunal judiciaire de Paris contre la direction général de la sécurité extérieur Numéros parquet 210043000328

-          Plainte au tribunal judiciaire de Paris contre la direction du renseignement militaire Numéros parquet 21043000300

-          Plainte au tribunal judiciaire de Paris contre la direction du renseignement de la sécurité et de la défense Numéros parquet 21043000291

-          Plainte au tribunal judiciaire de Paris contre coordination nationale du renseignement et de la lutte contre le terrorisme Numéros de parquet 21043000314

-          Plainte au tribunal judiciaire de paris contre La direction générale de la sécurité intérieure, ... et la personne qui l’accompagnait (le 25 janvier 2021 entre 13 heures 30 et 14 heures) pour tentative de meurtre avec préméditation en bande organisé, coup et blessure volontaire avec préméditation en bande organisé et acte de torture en bande organisé.

-          Certificat médicale décrivant les blessures après la collision du 25 janvier 2021 (mise en scène d’accident perpétré par les agents de la fonction publique des parties adverses)

-          Plainte contre x avec constitution de partie civile tentative de meurtre avec préméditation, coups et blessure avec préméditation et acte de torture et crime contre l’humanité auprès du pole crime contre l’humanité, crime et délits de guerre du tribunal judicaire de Paris

-          Liste des armes à Energie dirigé extrait du journal officiel de l’union européenne.

-          Demande d’acte au juge et commentaire de vidéographies d’attaque par armes du 41 rue mont Cenis 75018 paris

-          Commentaire d’une partie des photographie, vidéographies et 11 électrocardiographies enregistrés pendant les attaques par armes à énergie dirigé perpétré par les parties adverses.

-          Preuve transmis au tribunal judicaire de la thrombophlébite du bras gauche 14122020 (échographie, videographie, photographie), projection d’un agent chimique dans l’œil à Athènes

-          Plainte contre ... 30122021 pour escroquerie en bande organisé (exemple d’agent des parties adverse perpétrant intrusion illégale dans ma vie personnel et interférence avec mes moyens de télécommunication pour perpétrer des exactions). 30122021

-          Transmission de mon dossier médicale et commentaire au tribunal judiciaire, transmission de plainte aupres de Investigatory powers tribunal (contre les services secret Anglais) 04122021

 

-          Plainte contre la direction générale de la sécurité intérieure, la direction générale de la sécurité extérieure, la direction de la sécurité et de la défense et la coordination du renseignement et de lutte contre le terrorisme, la direction du renseignement militaire, la société orange et la société SFR pour : Actes de tortures en bande organisé; destruction de preuve et documents ;Violation de l’Article 34 de la convention européenne des droits de l’homme : Requêtes individuelles; escroquerie en bande organisée ; destruction de bien; intrusion et destruction notamment de mon matérielle informatique et de mes moyens de télécommunications; Intrusions illégales dans ma vie personnelle ;escroquerie en bande organisé utilisant la collecte, l’enregistrement et le traitement des données recueillie par intrusions illégales ;Interférence avec mes correspondances et mes communications, ciblage de mes moyens de communication (notamment par des algorithmes de ciblage) pour perpétrer de multiples escroqueries en bandes organisées, menace, intimidation, campagne de désinformation et harcèlement numéros de Parquet 21123000630 (13 documents constituent cette pièce jointe)

-          Echanges de courriel avec le secrétariat du doyen des juges d’instruction montrant des violations de l’article 8 de la déclaration universelle des droits de l’homme et de l’article 13 de la convention européenne des droits de l’homme (droit à un recours efficace) : aucune enquête efficace n’a été mené jusqu’ à ce jour et le temps judicaire est utilisé pour perpétrer la torture, des menaces des représailles, des escroqueries en bande organisé …

-          Courrier du secrétariat du doyen des juges d’instruction 14/10/220 en contradiction avec le code de procédure pénale

-          Courrier du secrétariat du doyen des juges d’instruction 17/12/2020

-          Lettre au président du tribunal judiciaire de paris (remis au greffier du tribunal judicaire le 15 janvier 2021)

-          Ordonnance illégale de consignation de 8000 Euro de la juge Nathalie Turkey en contradiction avec les documents transmis

-          Lettre d’interjection du montant de consignation et demande d’ouverture d’une enquête immédiate

-          Certificat vu par l’article 187 de la loi sur les impôts directs remis le 5 janvier 2021 au greffe du tribunal judicaire et ordonnance d’injonction de payer numéros 5068215

-          Lettre de Nathalie Turquey vice-doyen des juges d’instruction daté du 15 mars 2021

-          Demande de décaissement de la juge Nathalie Turkey après 7 mois de confiscation du dossier (sans qu’aucune enquête ne soit mené) : les parties adverses utilisant ce temps judicaire pour perpétrer la torture, des menaces, des représailles, des tentatives d’intimidation, des escroqueries en bandes organisé (véritable pillage), des obstructions et chantages administratifs et judicaire, de multiples destructions de preuves et intrusions illégales …

 

-          Complément d’information ajouté aux plaintes Numéros parquet 21043000345 Numéros parquet 21043000300, Numéros parquet 21043000291, Numéros parquet 21043000314 Numéros parquet 21035000596 Numéros parquet 21117000568 Numéros parquet 21043000328 remis au grief le 03 mai 2021 : document de 16 pages.

 

-          Plainte contre la direction générale de la sécurité intérieur pour : Tentative de meurtre avec préméditation Coups et blessure volontaire avec préméditions Acte de torture, Représailles, menace et tentative intimidation : déposé le 27 avril 2021 (démontrant que les actes de tortures, menaces représailles, tentatives d’intimidations et escroqueries en bande organisés continuent jusqu’ à ce jour et que aucune enquête efficace n’a été mené)

 

-          Clé USB contenant les preuves photographiques, vidéographiques, électrocardiographique enregistré pendant les par armes à énergie dirigé, des certificats médicaux (échographie, scanner …) .

non exhaustive list of proofs of crimes administrated, organized and perpetrated by states (transmitted to courts)

 

Rapport du rapporteur spécial sur la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants des nations unis du 14 février 2020 :

« La torture peut être perpétré en un seul acte ou résulter de la combinaison ou de l’accumulation de plusieurs actes … La durée, la répétition des diverses formes de mauvais traitements et leur gravité doit être évalué dans son ensemble. »

 

Veuillez notamment vous référer à l’argumentation numéros 1 sur la combinaison d’actes touchant tous les aspects de ma vie.

 

Principes relatifs aux moyens d'enquêter efficacement sur la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, adoptés par l'Assemblée générale des Nations Unies

Les États doivent veiller à ce que toute plainte ou information alléguant des actes de torture ou des mauvais traitements fasse promptement l'objet d'une enquête approfondie. Même en l'absence d'une plainte formelle, une enquête doit être ouverte s'il existe d'autres indications donnant à penser qu'on se trouve en présence de cas de torture ou de mauvais traitements. Les enquêteurs doivent être compétents et impartiaux et indépendants vis-à-vis des suspects et de l'organe qui les emploie. Ils doivent être habilités à prendre connaissance des résultats des enquêtes menées par des experts médicaux impartiaux ou par d'autres experts ou à ordonner de telles enquêtes. Les enquêtes doivent être menées selon des méthodes qui répondent aux normes professionnelles les plus exigeantes et leurs conclusions doivent être rendues publiques.

 

 

 

Principes relatifs aux moyens d'enquêter efficacement sur la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, adoptés par l'Assemblée générale des Nations Unies

L'autorité chargée de l'enquête doit être en mesure et a l'obligation d'obtenir tous les renseignements nécessaires à l’enquête. Les enquêteurs doivent disposer de toutes les ressources budgétaires et techniques dont ils ont besoin pour travailler efficacement. Ils ont aussi le pouvoir d'obliger à comparaître et à témoigner toute personne agissant à titre officiel dont on suppose qu'elle est impliquée dans des actes de torture ou des mauvais traitements. Il en va de même en ce qui concerne les témoins. À cette fin, l'autorité chargée de l'enquête est habilitée à citer les témoins à comparaître, y compris les fonctionnaires en cause, et à exiger que des preuves soient fournies.

 

 

Article 2 de la convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants Adoptée et ouverte à la signature, à la ratification et à l'adhésion par l'Assemblée générale dans sa résolution 39/46 du 10 décembre 1984.

1. Tout Etat partie prend des mesures législatives, administratives, judiciaires et autres mesures efficaces pour empêcher que des actes de torture soient commis dans tout territoire sous sa juridiction.

2. Aucune circonstance exceptionnelle, quelle qu'elle soit, qu'il s'agisse de l'état de guerre ou de menace de guerre, d'instabilité politique intérieure ou de tout autre état d'exception, ne peut être invoquée pour justifier la torture.

3. L'ordre d'un supérieur ou d'une autorité publique ne peut être invoqué pour justifier la torture

- Article 12 de la convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants Adoptée et ouverte à la signature, à la ratification et à l'adhésion par l'Assemblée générale dans sa résolution 39/46 du 10 décembre 1984.

Tout Etat partie veille à ce que les autorités compétentes procèdent immédiatement à une enquête impartiale chaque fois qu'il y a des motifs raisonnables de croire qu'un acte de torture a été commis sur tout territoire sous sa juridiction.

- Article 13 de la convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants Adoptée et ouverte à la signature, à la ratification et à l'adhésion par l'Assemblée générale dans sa résolution 39/46 du 10 décembre 1984.

Tout Etat partie assure à toute personne qui prétend avoir été soumise à la torture sur tout territoire sous sa juridiction le droit de porter plainte devant les autorités compétentes dudit Etat qui procéderont immédiatement et impartialement à l'examen de sa cause. Des mesures seront prises pour assurer la protection du plaignant et des témoins contre tout mauvais traitement ou toute intimidation en raison de la plainte déposée ou de toute déposition faite.

Principes relatifs aux moyens d'enquêter efficacement sur la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants adoptés par l'Assemblée générale des Nations Unies.

Lorsque les procédures d'enquête établies sont inadéquates, soit que les compétences techniques ou l'impartialité nécessaires fassent défaut, soit que l'on se trouve en présence d'abus apparemment systématiques ou pour toute autre raison grave, les États veillent à ce que l'enquête soit confiée à une commission d'enquête indépendante ou menée selon une procédure similaire. Les membres de la commission sont choisis pour leur impartialité, leur compétence et leur indépendance personnelles reconnues. Ils doivent, en particulier, être indépendants vis-à-vis des suspects et des institutions ou organes qui les emploient. La commission a tout pouvoir pour obtenir tout renseignement nécessaire à l'enquête, et mène celle-ci conformément aux présents principes.

Article 8 de la déclaration universelle des droits de l’homme

Toute personne a droit à un recours effectif devant les juridictions nationales compétentes contre les actes violant les droits fondamentaux qui lui sont reconnus par la constitution ou par la loi.

Article 13 de la convention européenne des droits de l’homme Droit à un recours effectif

Toute personne dont les droits et libertés reconnus dans la présente Convention ont été violés, a droit à l’octroi d’un recours effectif devant une instance nationale, alors même que la violation aurait été commise par des personnes agissant dans l’exercice de leurs fonctions officielles.

Article 12 de la déclaration universelle des droits de l’homme
Nul ne sera l'objet d'immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d'atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes.

Article 8 de la convention européenne des droits de l’homme

Droit au respect de la vie privée et familiale

Dans les faits, les état les entreprises et les organisations criminelle non seulement ont la capacité de mener des cyberopperation infligeant de grave souffrance sur d’innombrable personne mais peuvent également décider de s’en servir pour perpétrer la torture.

Avec l'avènement du Internet, il nous a été rapporté que les services de sécurité des états du fait de leur contrôle illimité des cyber technologie utilisent cette dernière, à la fois sur leur propre territoire et à l'étranger, pour de la surveillance systématique d’un grand nombre d’individue ainsi que de de l’intrusion (interférence) directe. Ainsi les services de communication électronique, les médias sociaux, les plates-formes média et les moteurs de recherche offrent un environnement idéal pour la diffusion anonyme de menaces ciblées, de harcèlement sexuel et d'extorsion, mais également pour la diffusion massive de contenus intimidants, diffamatoires, dégradants, récits trompeurs ou discriminatoires.

Rapport du rapporteur spécial sur la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants des nations unis du 14 février 2020 

Article 28 de la déclaration universelle des droits de l’homme
Toute personne a droit à ce que règne, sur le plan social et sur le plan international, un ordre tel que les droits et libertés énoncés dans la présente Déclaration puissent y trouver plein effet.

Article 34 de la convention européenne des droits de l’homme : Requêtes individuelles

La Cour peut être saisie d’une requête par toute personne physique, toute organisation non gouvernementale ou tout groupe de particuliers qui se prétend victime d’une violation par l’une des Hautes Parties contractantes des droits reconnus dans la Convention ou ses protocoles. Les Hautes Parties contractantes s’engagent à n’entraver par aucune mesure l’exercice efficace de ce droit.

.

Article 3 de la déclaration universelle des droits de l’homme
Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.

 

Protocole n° 6 article 1 À la Convention de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales concernant l’abolition de la peine de mort

Abolition de la peine de mort

La peine de mort est abolie. Nul ne peut être condamné à une telle peine ni exécuté.

Article 1 de la convention européenne des droits de l’homme Obligation de respecter les droits de l’homme

Les Hautes Parties contractantes reconnaissent à toute personne relevant de leur juridiction les droits et libertés définis au titre I de la présente Convention

Article 4 de la déclaration universelle des droits de l’homme

Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude ; l'esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes.

Article 4 de la convention européenne des droits de l’homme : Interdiction de l’esclavage et du travail forcé

Nul ne peut être traité comme un esclave ou être obligé d’effectuer un travail forcé.

Article 5 de la déclaration universelle des droits de l’homme
Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.

Article 3 de la convention européenne des droits de l’homme Interdiction de la torture

Personne ne peut subir des tortures ou être traité de manière inhumaine ou dégradante

 

 

Monsieur le procureur,

 

 

 

J’ai l’honneur de porter plainte contre la direction générale de la sécurité intérieure, la direction générale de la sécurité extérieure, la direction la direction de la sécurité et de la défense et la coordination du renseignement et de lutte contre le terrorisme, la direction du renseignement militaire, la société orange et la société SFR pour :

 

-          Actes de tortures en bande organisé

-          Destruction de preuve et documents

-          Violation de l’Article 34 de la convention européenne des droits de l’homme : Requêtes individuelles

La Cour peut être saisie d’une requête par toute personne physique, toute organisation non gouvernementale ou tout groupe de particuliers qui se prétend victime d’une violation par l’une des Hautes Parties contractantes des droits reconnus dans la Convention ou ses protocoles. Les Hautes Parties contractantes s’engagent à n’entraver par aucune mesure l’exercice efficace de ce droit.

-          Escroquerie en bande organisée

-          Destruction de bien

-          Acte de Sabotage notamment de mon matérielle informatique et de mes moyens de télécommunications

-          Intrusions illégales dans ma vie personnelle

-          Escroquerie en bande organisé utilisant la collecte, l’enregistrement et le traitement des données recueillie par intrusions illégales

-          Interférence avec mes correspondances et mes communications, ciblage de mes moyens de communication (notamment par des algorithmes de ciblage) pour perpétrer de multiples escroqueries en bandes organisées, menace, intimidation, campagne de désinformation et harcèlement

 

 

Rapport du rapporteur spécial sur la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants des nations unis du 14 février 2020 

Dans les faits, les état les entreprises et les organisations criminelle ont non seulement la capacité de mener des cyberopperation infligeant de grave souffrance sur d’innombrable personne mais peuvent également décider de s’en servir pour perpétrer la torture.

Avec l'avènement du Internet, il nous a été rapporté que les services de sécurité des états, du fait de leur contrôle illimité des cyber technologie utilisent cette dernière, à la fois sur leur propre territoire et à l'étranger, pour de la surveillance systématique d’un grand nombre d’individue et de l’intrusion (interférence) directe. Ainsi les services de communication électronique, les médias sociaux, les plates-formes média et les moteurs de recherche offrent un environnement idéal pour la diffusion anonyme de menaces ciblées, de harcèlement sexuel et d'extorsion, mais également pour la diffusion massive de contenus intimidants, diffamatoires, dégradants, récits trompeurs ou discriminatoires.

 

 

 

Rapport du rapporteur spécial sur la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants des nations unis du 14 février 2020 :

« La torture peut être perpétré en un seul acte ou résulter de la combinaison ou de l’accumulation de plusieurs actes … La durée, la répétition des diverses formes de mauvais traitements et leur gravité doit être évalué dans son ensemble. »

 

Les intrusions illégales dans ma vie personnelle sont quotidiennes notamment par interférence, sabotage et destruction de mon matérielle informatique et de mes moyens de télécommunication.

Ces destructions et intrusion illégales sont perpétré en concomitance avec les attaques par armes à énergie dirigé (voire les preuves et informations transmise au tribunal judicaire depuis le 24 aout 2020 dans les plaintes déposées contre les parties adverse) et les filatures illégales :

Cela constitue notamment acte de torture

 

Article 12 de la déclaration universelle des droits de l’homme
Nul ne sera l'objet d'immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d'atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes.

Article 8 de la convention européenne des droits de l’homme

Droit au respect de la vie privée et familiale

Pendant les quatre derniers mois (entre janvier et mai 2021) trois numéros de téléphonie mobile (et internet mobile) que j’ai notamment communiqué au tribunal judiciaire (et à d’autres juridictions, administrations, fournisseurs …) ont été unilatéralement resilié :

06 78 80 01 85 sociétés Orange

06 35 31 29 98 sociétés SFR

06 46 28 84 79 sociétés SFR

 

 

Les agents de la fonction publique des parties adverses ont interrompu ma ligne de télécommunication mobile et internet orange (06 78 80 01 85 sociétés Orange). Cette ligne téléphonique me servait à communiquer avec les procureurs et juridictions saisie en France et à l’étranger notamment pour des crimes perpétrés par des agents de la fonction publique chargé du renseignement. Cela constitue une interférence et intrusion de plus dans mes communications (ordinateurs, téléphone portable, télécommunication et connexion cybernétique) et m’a notamment empêché de défendre mes droits dans les différentes procédures en court contre les services secrets (voire notamment les numéros de parquet).

La note d’orange fait mention d’un département nommé sécurité des opérations et le nom madame Astride Briand impliqué dans cette coupure de ligne. Cet exemple illustrer les intrusions et interférences permanant des agents de la fonction publique des parties adverses avec mes moyen de communications dans leurs ensembles et notamment avec mes lignes téléphoniques, connexions internet et moyens de géolocalisations.

Une deuxième ligne de télécommunication et internet mobile de la société SFR (SFR 06 35 31 29 98) a été coupé avec des motif fallacieux par les services secret français et le contrat résilié. Cette ligne figure notamment sur les pièces jointe de mes dépôts de plainte au tribunal judiciaire et beaucoup d’autres documents en liens avec les crimes perpétrés par des agents de la fonction publique des parties adverse en France et à l’étranger.

 

Une troisième ligne de télécommunication et internet mobile de la société SFR (06 46 28 84 79 sociétés SFR) n’a pas pu être maintenu en service car le site de la société SFR envoyait des messages d’erreur lorsque j’effectuais les étapes pour l’identification de ma ligne téléphonique en enregistrant mon passeport sur le site SFR.

 

La connexion internette free de mon lieu de résidence au 14 rue de Naples 75008 paris est interrompue depuis 9 avril 2021 par les agents de la fonction publique des partes adverse (voire les numéros de parquets des plaintes associés).

 

Le ciblage permanent de ma vie personnelle par des actes de sabotage et escroquerie en bande organisé est notamment planifiés par le recueille et traitement des renseignement et l’interférence avec mes moyens de communication et mon domicile. Il y a donc une urgence à mettre fin immédiatement aux activités criminelles et hostile des parties adverses à mon encontre :

Les intrusions injustifiables dans ma vies personnelles sont associées à des algorithmes malveillants de ciblage de mes moyens de télécommunication notamment sur internet (mes recherches sur internet pour trouver un logement ou effectuer toute autre démarche quotidienne étant saboté et réorienté vers des agents corrompus et m’exposant à toutes formes d’exaction et abus de leur part).

 

Ces informations recueille en toute illégalité servent aux activités criminelle et atteinte manifestement illégale à mes liberté fondamentale perpétré par les parties adverses.

Tous mes moyens de communication cybernétique font l’objet d’intrusion et d’interférence malveillante (notamment des algorithmes de ciblage).

 

Article 34 de la convention européenne des droits de l’homme : Requêtes individuelles

La Cour peut être saisie d’une requête par toute personne physique, toute organisation non gouvernementale ou tout groupe de particuliers qui se prétend victime d’une violation par l’une des Hautes Parties contractantes des droits reconnus dans la Convention ou ses protocoles. Les Hautes Parties contractantes s’engagent à n’entraver par aucune mesure l’exercice efficace de ce droit.

L’article 34 de la convention européenne des droits de l’homme mentionne spécifiquement que les états ne doivent pas entraver l’exercice efficace du droit de saisie de la cour européen des droits de l’hommes.

Le sabotage et destruction de mon matérielle informatique par les agents de la fonction publique des parties adverses pendant la rédaction de la saisie du court européenne des droits de l’homme en l’application de l’article 34 de la convention européenne des droits de l’homme.

-          Un premier ordinateur (mis sous scellé et contenant notamment toutes les documents et preuves des crimes perpétré et documents juridiques en liens avec les affaires judicaire en cours) détruit le 16 janvier 2021.

-          Un deuxième ordinateur (mis sous scellée) acheté en remplacement le 18 janvier 2021 a cessé de fonctionner après environ un jour.

-          Le troisième ordinateur acheté (deuxième en moins d’un mois) fait l objets de constante intrusion et malgré l’installation d’un antivirus à jours ne me permet pas de faire fonctionner correctement des programmes simples comme le traitement de texte Word.

En détruisant l’ordinateur contenant ma plainte à la cour européenne des droits de l’homme (et de très nombreuse preuves et document en lien avec les affaires en cours en France, en Angleterre et en suède) exigeant des jours de travail et un investissement personnel et financier dans un contexte où la torture est perpétrée, les agents de la fonction publique des parties adverse ont activement entravé l’exercice efficace de mon droit à la saisie de la cour européen des droits de l’homme. Cette destruction et sabotage de mon matérielle informatique a retardé de plusieurs mois ma saisie de la cour européenne des droits de l’homme. Cette acte (et tous les autres crimes perpétrés constituant menace, chantage et tentative d’intimidation) constituant également aveu de culpabilité de la part des partes adverses.

L’article 34 de la convention européenne des droits de l’homme mentionne spécifiquement que les états ne doivent pas entraver l’exercice efficace du droit de saisie de la cour européen des droits de l’hommes.

 

La vidéo enregistrée à 22h23 me filme dans mon appartement, en train de manipuler mon ordinateur portable, éteint.

A cette date aux vues des images enregistré par sa caméra de sécurité corroborant les dates des fichiers présent sur mon ordinateur, le dernier fichier enregistré et correspondant à l’arrêt de fonctionnement de mon ordinateur est le 16 janvier 2021 à 22 heures 11, soit l’heure à laquelle je travaillais sur la rédaction de la requête de saisie de court européenne des droits de l’homme en l’application de l’article 34 de la convention européenne des droits de l’homme.

 

Article 322-1

Modifié par Loi n°2002-1138 du 9 septembre 2002 - art. 24 () JORF 10 septembre 2002

La destruction, la dégradation ou la détérioration d'un bien appartenant à autrui est punie de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende, sauf s'il n'en est résulté qu'un dommage léger.

 

Sachant depuis de nombreuses années que j’entreprendrais toutes les démarches nécessaires pour mettre fin aux crimes perpétré, les services secrets français et les services de sécurité français (en collaboration avec leurs homologues étranger) gagnent du temps pour continuer à perpétrer des crimes à mon encontre et à s’opposer par tous les moyens d’état à leur disposition à l’exercice de mon droit à un recourt efficace devant les judications nationale et internationale. Plus précisément les fait de me menacer et d’essayer de m’intimider en couvrant des crimes déjà commis par d’autre crimes :

 

-          Actes de tortures

-          Tentative de meurtre avec préméditation

-          Coups et blessures volontaire avec préméditation

-          Obstruction à la justice

-          Destruction de preuve et interférence avec les enquêtes de justice

-          Escroquerie en bande organisée

-          Acte de Sabotage notamment de mon matérielle informatique et de mes moyens de télécommunications

-          Intrusions dans ma vie personnelle, filature, écoutes illégales et menaces

-          Campagne de désinformation et diffamation

-          Collaboration avec l’Iran notoirement opposé au respect des droits de l'homme dans sa législation et ses pratiques

-          Intimidation

-          Diffamation et isolation

-          Escroquerie en bande organisé souvent base entre autres sur les collecte, enregistrement et traitement des données recueillie par intrusions injustifiées

-          Utilisation d’agents couvert et réseaux de policier maffieux

-          Interférence avec mon domicile, mes correspondances et mes communications

-          Ciblage de mes moyens de communication (notamment par des algorithmes de ciblage) pour perpétrer de multiples escroqueries en bandes organisées, menace, intimidation, campagne de désinformation et harcèlement

 

 

Veuillez joindre les informations et argumentations de cette plainte aux preuves, information et documents transmis au tribunal judicaire depuis le 24 aout 2020 pour les plaintes portant les numéros de parquet suivants :

 

Numéros parquet 21043000345

Numéros parquet 21043000300

Numéros parquet 21043000291

Numéros parquet 21043000314

Numéros parquet 21035000596

Numéros parquet 21117000568

Numéros parquet 21035000596

 

Veuillez agréer monsieur le procureur l’expression de mes salutations distinguées.

 

 

 

Dr Adam Tarel

 

 

 

Piece jointe

 

 

-        Preuves vidéographiques montrant la destruction de l’ordinateur (pendant la rédaction de la plainte à la cour européen des droits de l’homme, une odeur de brulé s’en dégage)

-          Photographie des fichiers après extraction des donnés par la Fnac des donnés de l’ordinateur de marque HP montrant la dernière version récupère (après extraction des donné, l’enregistrement du document Word de 14h11 a été récupère et la version de 22h11 n’a pas pu être récupéré) du document de saisie de la cour européenne des droits de l’homme

-          Note orange montrant que les agents de la fonction publique des parties adverse tentent de masquer leur activité criminelle avec des motifs fallacieux

-          Echanges de courrier avec SFR montrant les agents de la fonctions publiques des parties adverse tentant de dissimuler leurs activités criminelles

-          Ecran de l’ordinateur lorsque j’essaye d’enregistrer mon passeport sur le site de SFR pour identifier la ligne 

-          Photographie de la remise de l’ordinateur détruit à la fnac pour extraction des donné

-          La facture de la fnac pour l’extraction des donné

-          Facture des deux ordinateurs achetés en moins d’une semaine (facture Fnac et Darty)

-          Photographie de l’ordinateur HP détruit par les agents de la fonction publique des parties adverse le 16 janvier

 Press release 30th of January 2021

 

 

Communiqué de presse : Je vous mets en garde contre le choix de ne pas publier immédiatement les preuves et informations que je vous transmets.

 

 

 

 

Mesdames et Messieurs journaliste français,

 

 

Le gouvernement notamment à travers les activité criminelle de la coordination du renseignement, de La direction générale de la sécurité intérieure (la DGSI) , de  La direction générale de la sécurité extérieure  (la  DGSE) , de  La direction du renseignement militaire (la  DRM), de La direction du renseignement de la sécurité et de la défense (la DRSD), la direction générale de la police national  (la DGPN) … administrent et perpètrent des crimes extrêmement ABJECTS contre l’humanité (notamment contre la population française).

 

 

Le gouvernement et les média tentent misérablement (à l’image de leurs activité criminelle et abject qui sont une honte pour l’humanité entière) de retarder la manifestation de la vérité par de la censure, de la désinformation, des meurtre d’opposant (et des personne qui disent la vérité), de la torture, des représailles, des campagnes de diffamation, des intrusions ignominieuse …

 

Les faits criminelle perpétré par le gouvernement français ayant fait l’objet d’avertissements de la part des nations unis et dénoncé à de très nombreuse reprise par les lanceurs d’alerte tell que Barrie Trower (ex  scientifique expert en armement microondes des Security services Anglais MI5 MI6 , diplômé de physique nucléaire et atomique, diplômé en effet environnementale sur les processus de pensé incluant les effet des armes microonde sur le cerveau, diplômé en physiologie humaine …) Bill Binney (ex directeur de la national Security agencie NSA américain) et Katherine Horton (docteur et spécialiste en physique des particules)  doivent être exhaustivement médiatisés. Des victimes et des organisations non gouvernementales portent plainte et envoient des pétitions depuis des dizaines d’année.

 

Les attaques massives et particulière ignominieuse par armes silencieuse (notamment les armes à Energie dirigé et armes biologique) contre la population civile combiné à des intrusions extensives sont majoritairement caché par de la désinformation médicale abject. Ces armes (notamment les armes à énergie dirigé) sont également utilisées contre les animaux, les plantes, l enivrement et les objets.

 

 

Les documents des nations unis décrivant notamment les meurtres et les tortures d’opposants par des methodes particulièrement abject (une honte pour l’humanité entière) combinant les attaques par armes silencieuse (jusque dans l’intimité des victimes) les filatures illégales et les intrusions illégales doivent être étudiés, recoupé avec les preuves et informations disponible (que vous trouverais sur mon site https://www.liberation.website) et exhaustivement publiés.

https://tbinternet.ohchr.org/Treaties/CAT/Shared%20Documents/USA/INT_CAT_CSS_USA_18550_E.pdf

 

Veuillez étudier en détail les preuves, les informations, les vidéos éducatif, les articles et les messages disponible sur mon site internet :

https://www.liberation.website/

 

La publication de mes messages fait l’objet de misérable tentative de censures, de sabotage criminelle, d’infiltration abject par des agents de la fonction publique tentant par les methodes criminelle les plus abject (torture, tentative de meurtre, coups et blessures volontaire, intrusions illégales, filatures illégales, campagnes de diffamations et de calomnies , exactions …)  de retarder la manifestation de la vérité  (les crimes contre l’humanité actuellement perpétré par l’état français) .

 

J’ai engagé de multiple procédure pénale contre les activités criminelle ignominieux de l’état français (et les activités criminelles de plusieurs autres états) au niveau national et internationale.  Je suis titulaire d’un doctorat en chirurgie dentaire et suis spécialisé en chirurgie.

 

Veuillez accuser réception de ce message et procéder à la publication immédiate de la totalité des preuves et informations que je vous transmets (et disponible sur mon site internet et ma chaine YouTube).

https://www.liberation.website/

https://youtu.be/uvDtyHj2mKI

https://www.youtube.com/channel/UCqpR5mlg57Pe0HGTEbwdqjg

 

Des crimes contre l’humanité et des violation extrêmement grave de la déclaration universelle des droits de l’homme sont perpétré par l’état français : le peuple a un droit inaliénable à la vérité (aucune forme de secret ne peut être prétexté pour cacher des contre l’humanité et des activité criminelle particulièrement ignominieux).

 

Je vous mets en garde contre le choix de ne pas publier immédiatement les preuves et informations que je vous transmets : vous (les journalistes) avez le devoir d’informer le publique. L’éradications des crimes contre l’humanité et des violation graves de la déclaration universelle des droits de l’homme perpétré par l’état français, est de la plus haute nécessité, sera un progrès pour l’humanité entière et sauvera des vies humaine.

 

 

Veuillez agréer, mesdames et messieurs journaliste français, l’expression de mes salutations distinguées.

 

Docteur Adam Tarel